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Liste des réseaux de la France combattante ayant eu une activité en Bretagne
Parmi les différentes organisations de la Résistance, on a
coutume de distinguer les réseaux et les mouvements.
Un réseau est une organisation créée en vue d'un travail militaire précis (renseignement, sabotage, évasion de prisonniers de guerre et de pilotes tombés chez l'ennemi). Un mouvement a pour premier objectif de sensibiliser et d'organiser la population. Historique des infiltrations d'agents en France de 1940 à 1945 Les mouvements de Résistance
LIBÉRATION-NORD (Article Wikipedia) Membres du réseau en Bretagne:
LOUVIOT
Victor (Rennes) chef du réseau en Ille-et-Vilaine
LAUNAY
Joseph (Dinard) LE
FLOCH
Juliette, née CAHOUR (Redon)
LIGONDAY
Jean (Nantes) MABILLE
Henri
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Front National
(Article
Wikipedia)
Membres du réseau en Bretagne:
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Défense de la France est le nom donné à un mouvement de la Résistance français pendant la Seconde Guerre mondiale, qui a fondé et donné son nom au plus grand journal clandestin sous l'occupation : Défense de la France, qui devient ensuite France-Soir, dont le premier numéro paraît le 7 novembre 1944 avec un double titre, France-Soir - Défense de la France. Membres du réseau en Bretagne:
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Mouvement de jeunesse fondé après l'armistice de juin 1940 par Henri Dhavernas, inspecteur des Finances et ancien commissaire national des Scouts de France, pour encadrer la jeunesse et la mettre au service de la nation. Les Compagnons reçurent, dès leur création, le soutien du gouvernement de Vichy qui leur attribua des subventions importantes. Mais, ils furent interdits par les Allemands en zone occupée. Le mouvement, profondément attaché aux valeurs communautaires, fonctionnait sur un mode militaire. Il prit part à la reconstruction du pays, en fournissant notamment de la main d'œuvre aux Eaux et Forêts et aux Ponts et Chaussées. Il comportait plusieurs branches : les Compagnons de Chantiers, employés à plein temps, les Compagnons de la Cité, de loin les plus nombreux, qui travaillaient à temps partiel, et à partir de 1942, une branche féminine, les Compagnes de France, qui n'eut guère de succès. En 1943, les Compagnons revendiquaient environ 30 000 membres. Le mouvement fit l'objet de vives critiques, surtout de la part des plus collaborationnistes du régime de Vichy, qui tentèrent, sans succès, d'en prendre le contrôle : après l'éviction de Dhavernas en 1941, le ministre de l'information Paul Marion poussa la candidature d'Armand Petitjean, un proche de Drieu La Rochelle. C'est finalement le commandant Guillaume de Tournemire qui fut élu par l'assemblée générale des Compagnons. Ce dernier se fit remarquer par son indépendance d'esprit et son manque d'allégeance aux Allemands. Il resta néanmoins fidèle au maréchal Pétain jusqu'à fin 1942. Mais l'invasion de la zone Sud par les Allemands (novembre 1942) et la création du STO en France (février 1943) mirent fin à sa loyauté au régime. Les Compagnons se mirent à engager les récalcitrants au STO pour leur éviter d'être envoyés en Allemagne, tandis qu'un certain nombre d'entre eux passaient à la Résistance. Le mouvement fut dissous en janvier 1944 et son ancien chef, partisan de Giraud, gagna le maquis. Source: http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/Compagnons_de_France/182145 Membres du réseau en Bretagne: CHEVREL Roger
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LIBERATION NATIONALE PTT mouvement qui rassemblait les anciens "unitaires CGTU.
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Les réseaux Le réseau ALIBI Réseau de renseignements (Compléments d'informations)
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Le Réseau ALLIANCE Réseau de renseignements: Alliance est un réseau de la Résistance intérieure française pendant la Seconde Guerre mondiale. Alliance était l'un des plus actifs réseaux de renseignement de la Résistance, avec la Confrérie Notre-Dame et, comptant jusqu'à 3 000 membres, le plus important des réseaux dépendant de l'Intelligence Service britannique (IS) sur le territoire français. Le réseau dénombre au total 438 morts1 sur 1 000 arrestations. Chaque membre, pour préserver son identité, se vit désigner un matricule par l'IS. Puis, pour rendre plus pratique la communication entre les différentes parties, ils adoptèrent des surnoms ou pseudonymes. Les fondateurs du réseau Alliance et la plupart des autres membres choisirent de porter comme pseudonymes des noms d'animaux. C'est pourquoi la police allemande lui a attribué le nom original d’Arche de Noé. ( Source Wikipedia) Les déportés du réseau ALLIANCE arrêtés ou nés en Bretagne
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Le réseau BO BRETAGNE ( A développer) |
Le réseau BORDEAUX- LOUPIAC (Réseau d'évasion) (Compléments d'informations) CAMORS Jean Claude, RÉCIPON Andrée, GUILLARD Désiré, ROURE Rémy |
Le réseau CONFRERIE NOTRE DAME ( A développer) C.N.D. Castille (Compléments d'informations) Liste des résistants qui participent à ce réseau :
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Le réseau OSCAR BUCKMASTER (Compléments d'informations) Liste des résistants qui participent à ce réseau : MOREL Pierre (liquidateur du réseau)
ALLARD Madeleine; ALLARD Marcel (général); BALLARD Renée, née BONNEL;
CERTIN Félix;
CHEVALIER Gabriel,
DOREAU Kléber
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Le réseau belge DELBO PHENIX : Réseau de renseignements Compléments d'informations) Lire l'article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Liste des résistants qui participent à ce réseau : ANDREIS Jean BARRÉ Maurice LE SCOLAN Céline, Jeannine LECLERC, Robert GUENARD |
Le réseau ELEUTHERE Réseau de renseignements Compléments d'informations) Il a a été fondé par Hubert de Lagarde. C'est un réseau de contre-espionnage qui a opéré sur le territoire national français L’écrivain Hubert de Lagarde, qui a eu pour professeur d’histoire à Saint-Cyr le commandant Charles de Gaulle, fonde en 1942 le réseau Eleuthère. Ce patriote militant d’Action française installe un magasin d’antiquités "Chez Swan" rue Cambon à Paris pour mieux couvrir ses activités. Ce réseau, travaillant pour Libération-Nord en zone occupée, se spécialise dans le renseignement. Comme ses homologues Cohors et Phalanx, il y ajoute l’espionnage et le sabotage. Sous son impulsion, son activité s’étend en zone occupée par la création de 12 sous-réseaux allant jusqu’à employer 419 agents en 1943. Aidé de son adjoint, le commandant André Brouillard, Pierre Nord, il transmet des informations à Londres pour les Alliés. Ainsi dans la nuit du 4 au 5 mai 1944, grâce aux précisions transmises, le raid aérien détruisant la division blindée Hohenstauffen regroupée dans la région de Mailly (Marne) est une réussite (10 000 tués, 400 chars détruits). Au demeurant, Lagarde s’insurge contre les bombardements aveugles des Alliés dont celui de Rouen. En 1944, il prend la tête du service de renseignement de Libération-Nord puis de l’état-major mais est arrêté le 26 juin. Déporté, il meurt à Dora le 25 janvier 1945. Pour la réussite de ses missions, le prix à payer est élevé : 8 fusillés, 86 déportés. (Sources: http://www.exposition-libe-nord.org/reseau-Eleuthere)
Membres du réseau en Bretagne:
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Le réseau F2: Compléments d'informations) Le réseau F2 1est un mouvement de la Résistance française. Il fut implanté dès 1940 à l'initiative du gouvernement polonais en exil à Londres. En juin 1940, le Gouvernement Polonais en exil en France disposait d'une armée polonaise forte de 80 000 hommes. Après l'armistice de juin 1940, le Gouvernement Polonais s'exila à Londres et organisa des réseaux clandestins polonais en France. Ces réseaux disposaient de leurs propres moyens de communication et étaient reliés directement aux services secrets britanniques. Le nombre total des combattants répertoriés a été de 2513, les Polonais représentaient en décembre 1940 41% des agents combattants et 12% en juin 1944. (Source Wikipedia) Liste des résistants qui participent à ce réseau : BARRÉ Maurice; BÈS DE BERC Hervé; BOIZART Maria Eugénie Henriette, née LEDUC; BOIZART; Marie-Thérèse née EECKAUT; BRANCA Anna, née DUVEAU; COTREL André Georges; CREMAILH Jeanne Pauline; LOISON Gabriel; SEBILLEAU Gaston; SCHWING Annick et Jean-Jacques; De VILLENEUVE
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Le réseau JADE-FITZROY est un réseau de la Résistance intérieure française, fondé en 1940.(Compléments d'informations) Créé en décembre 1940, Jade-Fitzroy rassemble d'emblée des hommes d'origine politique très différente. Les deux principaux fondateurs, en effet, sont Claude Lamirault, ancien Camelot du Roy (l'organisation de jeunesse de l'Action française et Pierre Hentic, ancien membre des Jeunesses communistes. Ce réseau, qui avait des ramifications le long de la côte bretonne, était dirigé depuis le région de Brest par Madame Yvonne Le Roux, dit Tante Yvonne, de son vrai nom Yvonne Roussel qui fut arrêtée le 8 avril 1942 à Plomodiern et déportée à Ravensbrück. Il est rattaché au MI6 britannique, et non au Bureau central de renseignements det d'action (BCRA), le service de la France libre, jusqu'en juillet 1944, date à laquelle il rejoint les réseaux du BCRA. Ses activités concernent progressivement tout le territoire, la zone occupée dès 1940 par les troupes allemandes et la zone soumise au régime de Vichy, mais le gros de ses membres sont présents en région parisienne. De la fin de 1940 à la fin de 1941, les hommes de Jade-Fitzroy consacrent l'essentiel de leurs activités à la constitution minutieuse de leur réseau et au recrutement de nouveaux membres. Une dizaine de sous-réseaux spécialisés sont ainsi créés. Par la suite, Jade-Fitzroy se spécialise dans le renseignement militaire. Les principales recherches concernent les mouvements de l'armée allemande, la production aéronautique, les ports maritimes, les transmissions, la construction du Mur de l'Atlantique et autres installations de défense, ainsi que, à la fin de la guerre, les rampes de lancement des V1 et V2. Après l'arrestation de Claude Lamirault, en 1943, la direction du réseau est confiée à sa femme, jusqu'à l'arrestation de celle-ci, en avril 1944. Jade-Fitzroy a compté jusqu'à 708 agents, selon Alya Aglan. Ce réseau ne doit pas être confondu avec Jade-Amicol, issu d'une scission intervenue en 1942, et beaucoup plus marqué à droite. (Source WIKIPEDIA) Liste des résistants qui participent à ce réseau : . ALLANIC Yves; BOLTZ René; BOSQUET Marcel; Albert CHAURÉ, Marcel COTTERET; Ferdinand DELABALLE, Léon HUMBERT; Max LEBAN ; LEROUX Isidore; LE ROUX Yvonne; Joseph MOUDEN
ROLLAND
Jean-Louis Le réseau JADE-AMICOL (Compléments d'informations) BERGEMANN Walter et sa femme Henriette
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Le réseau JOHNNY, avec KER -réseau rattaché au B.C.R.A., le service secret de la France libre(Compléments d'informations) Ker Compléments d'informations)Réseau de renseignements dépendant de l'Intelligence Service qui se met à l'œuvre à l'automne 194-2 en Ille-et-Vilaine et en Loire-Inférieure en particulier à Saint-Nazaire. Il recueille des informations concernant la base sous-marine et les transmet grâce à des postes émetteurs installés à Rennes et Nantes. Ce réseau comporte parmi ses membres Yves Milon. futur maire de Rennes, Adolphe Le Goaziou, futur président du CDL du Finistère. Il est le prolongement du réseau Johny démantelé quelques mois auparavant. Il s'implante notamment à la SNCF afin de rassembler des renseignements sur les mouvements des trains. Il est désorganisé en avril 1943 avec de nombreuses arrestations (une trentaine en Ille-et-Vîlaine et Loire-Inférieure). En décembre 1940, Jean Le Roux quitta la Bretagne pour rejoindre la France Libre à bord de L'Émigrant dans les conditions exceptionnelles que nous avons relatées dans le numéro de juin 1956 de notre revue. Dans le même numéro paraissait sous le titre : «Un Héros et un Traître», un article décrivant le comportement héroïque de Marcel Le Roy, radio-émetteur du réseau Johnny pour lequel Jean Le Roux était revenu en France en mars 1941. Le réseau JOHNNY cessa d'exister en juillet 1942, pratiquement anéanti par les arrestations. C'est un de nos réseaux où les pertes furent les plus lourdes puisque sur 197 agents homologués (dont 57 pour Ker) 53 payèrent de leur vie leur patriotisme et 60 furent déportés ou internés. (Source: http://www.france-libre.net/temoignages-documents/temoignages/reseaux-ffl/Page-3.php)
(Source: Déposition de Christiane MOREAU, membre du réseau et déportée)
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Le réseau LA BANDE A SIDONIE GEORGES FRANCE 31 ( A développer) (Compléments d'informations) Marie-José Chombart de Lauwe |
Le Réseau MABRO-PRAXITELE (Compléments d'informations) Ce réseau de renseignements émanant également du B.C.R.A. de Londres a été lancé par un ancien député des Côtes du Nord, Pierre Sérandour qui, après avoir voté les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain, rejoint les rangs de la Résistance.(Source:Wikiarmor)
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Le réseau MITHRIDATE (Compléments d'informations) Le réseau de résistance Mithridate, fondé dès juin 1940 par Pierre Herbinger à la requête du MI6, fut l'un des plus importants de la seconde Guerre mondiale. Il rassembla plus de 1600 agents répartis sur tout le territoire français, la Belgique et le nord de l'Italie. Réseau franco-britannique, Mithridate n'est pourtant rattaché au BCRA qu'en janvier 1942. C’est un réseau de renseignements militaires chargé de fournir aux États-Majors les indications nécessaires pour précéder ou accompagner les opérations de guerre. Il fut opérationnel jusqu’en 1945. Il compta 1987 agents homologués dont 127 morts pour la France et 208 déportés rentrés vivants Source Wikipedia
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Le réseau MARCO POLO: Réseau de renseignements rattaché au BCRA (Source AERI-RESISTANCE CD Indre-et-Loire)
Le réseau Marco Polo réunit un nombre important
de Tourangeaux et Tourangelles. Beaucoup sont fusillés, nombreux sont
déportés. Jack Vivier |
Le réseau
OVERCLOUD.
(Compléments
d'informations) Premier réseau organisé en zone occupée, en Bretagne. (Organisation de de parachutages d'armes et de matériels en zone nord. Liste des résistants qui participent à ce réseau en Bretagne: DALIBOT André; MAUREL Etienne; MAUREL Renée; MIGAUD Albert, fusillé au Mont-Valérien; MIGAUD Auguste, fusillé au Mont-Valérien ; LE DEUF Louis; LEGUET Joséphine (ADIV 167 J25); LE TAC Joël et Yves; REMAUD Louis
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Le réseau PARSIFAL
Compléments
d'informations) Liste des résistants qui participent à ce réseau en Bretagne: Robert TAINTURIER Article Wikipedia |
Le réseau PAT O'LEARY (Compléments d'informations)
Le réseau Pat
O'Leary fut un réseau
de résistance international, pendant la Seconde
Guerre mondiale, connu pour être le plus grand réseau d'évasion de
la résistance française.
Il devint le réseau
Françoise, après l'arrestation de son chef "Pat O'Leary", pseudo
du médecin colonel belge Albert
Guérisse. Lien externe: Le réseau Pat O'Leary en Bretagne COZANET René
MOAL Jean-Louis |
Le réseau SHELBURN Compléments d'informations) Réseau d'évasion rattaché au MI-9 (Le MI9 (abrégé pour Military Intelligence, département numéro 9) fut, pendant la durée de la Seconde Guerre mondiale, une organisation chargée d'aider (protection, équipement, conseils), de récupérer et de ramener dans des pays occupés jusqu'en Angleterre des résistants, des militaires tombés derrière les lignes ennemies (par exemple les pilotes dont l'avion avait été abattu) et des prisonniers de guerre.) ( A développer) Article Wikipedia
ROULIER Gabrielle Wilhelmine, née KUENTZ; VINCON Olga
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TURMA-VENGEANCE
Compléments d'informations) Avec plus de 30 000 membres répertoriés1, le réseau Turma-Vengeance est l'un des plus vastes mouvements de résistance intérieure française. Fondé en janvier 1941 en zone occupée par trois amis médecins, le réseau se fixe une triple mission: Victor Dupont prend la tête du service de Renseignement, Raymond Chanel, se spécialise dans l'évasion et François Wetterwald devient le chef des Corps Francs Vengeance, chargés des missions de sabotage. Liste des résistants qui participent à ce réseau en Bretagne: La famille GÉNOT de Quimperlé; ROBET Luc; Robert LANCIEN
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Le réseau
TURQUOISE
JEZEQUEL. Mission BLAVET
Compléments d'informations) Réseau de renseignements Liste des résistants qui participent à ce réseau: HUGUES Jean; JANVIER Christian; JEZEQUEL Simone; JEZEQUEL Yves
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Le réseau VAR: Réseau d'évasion (Compléments d'informations) Réseau créé en août 1943 par un juif autrichien, agent du SOE, Peter Deman, avec l'objectif de créer de liaisons régulières entre l'Angleterre et la Bretagne. Après avoir repéré les lieux les plus propices à l'hébergement des aviateurs à rapatrier et à l'embarquement, le réseau mène ses premières opérations dans les Côtes-du-Nord dans les environs de Saint-Brieuc, puis dans le Finistère près de Guimaec. Rennes puis Redon sont les villes de ralliement avant les évacuations, une par mois. Aristide Sicot, un instituteur des Côtes-du-Nord , joue un rôle important dans la recherche des filières. C'est lors de l'une des missions assurées par le réseau Var que François Mitterrand, alias Morland, chef du mouvement de résistance MNPRG est débarqué dans une crique près de Plougasnou en février 1944 après un séjour à Londres durant lequel il a rencontré le général de Gaulle. Le réseau est frappé par une série d'arrestations quelques semaines avant le débarquement allié. Source Wikipedia Liste des résistants qui participent à ce réseau en Bretagne: BOUDALIEZ Anne Marie; Marcel JACQ; Fernand CADIO; BOURDAIS Georges; Marcel DEPLANTAY; SILLARD Charles et SILLARD Marie Thérèse; SEBILLEAU Gaston et Denise SEBILLEAU GILBERT (Le radio) |