
Iffendic,
terrain de Careil:
"L'Oncle Robert est en bonne santé".
Article
Dans la nuit du 1er au 2 février 1942.
Quatre containers d'armes, munitions et plastic furent réceptionnés au
lieu-dit "La Ville-es-Macé".
A la suite du parachutage du 2 février 1942, le groupe Maurel fut décimé
- René Fleuriot de Langle et André Simon furent emprisonnés.
- Pierre Dalibot, Raoul Barbé, Francis Bourges furent déportés.
- Etienne Maurel, André Ménard, les deux frères Normand, Gabriel de
Cyresme moururent dans les camps d'extermination.
Comblessac
au lieu-dit du Bois-Jan:
"La
vengeance approche, le châtiment suit le crime"
Article
Dans la
nuit du 20 au 21 octobre 1943,13
containers d'armes et de munitions sont récupérés. :
35 personnes ont été emprisonnées. Onze d'entre elles sont mortes en camps de
concentration.
Saint-Brieuc-des-Iffs
à La-Talmachère:
"Ventre affamé n’a pas
d’oreilles"
Article
Soir du 6 novembre 1943, 15
containers (7 tonnes d'armes) sont récupérés pour être enterrés dans une ancienne carrière.
8 personnes sont arrêtés dont 4 de la famille Nobilet. 5 d'entre elles
sont mortes dans les camps de concentration
Vieux-Vy-sur-Couesnon sur les landes de Pavée:
"Il
a gagné le million"
Article
Parachutage
d'armes à
le 16 juillet 1944
Saint-Christophe-de-Valains à La Belinaye: 18
tonnes d'armes sont parachutées le 31 juillet 1944
Drouges
au lieu-dit Launay près de La-Guerche-de-Bretagne:
"Les enfants font les courses au village"
Article
Le parachutage devait être assuré par
le lieutenant Bernard Salmon, qui se fit tuer le 14 juillet, à Vern-sur-Seiche, avec ses compagnons Henri Guinchard, Alfred Lavanant et Rémy
Lelard. Le capitaine Pineau fut seul au rendez-vous et fit marcher seul l'Euréka et
l'Exphone qu'il avait apportés.
Dans la nuit du 17 juillet 1944, une quarantaine de résistants
réceptionnent, 75 containers et 35
colis ce qui représente un poids total d’environ quinze tonnes
Pléchâtel
les landes de Bagaron:
"Les
enfants aux yeux bleus pleurent"
Le soir du 16 juillet assuré par Lucienne
GERARD alias Josette, agent de liaison du Cdt Pétri,
avec les moyens rudimentaires du feu de joie et des quatre lampes Code. Réussite
parfaite, due en grande partie à l'aide apportée par les paysans du voisinage.
Vers 23 h, trois avions anglais larguent une dizaine de tonnes
d'armes et de munitions sur les landes de Bagaron. En attendant leur distribution, les armes
sont transportées dans des fermes, à Crévin et Bourg-des-Comptes, et
dans la classe de Georges Beauplet qui les dissimule sous l'estrade.
Grâce à cet armement renforcé, les groupes de résistance peuvent alors
amplifier leur action et assurer leur mission de sabotage du matériel
ennemi et de harcèlement de l'occupant, jusqu'à la Libération…
Dernière
mise à jour: 21/01/2017